Trump… le président du sang et du génocide

Trump… le président du sang et du génocide
Donald Trump n’est pas un simple président de passage dans l’histoire des États-Unis, mais la plus dangereuse incarnation de l’impérialisme américain dans sa forme la plus abjecte. Un homme malade, atteint de délire de grandeur et de narcissisme, qui dirige une nation entière avec la mentalité d’un marchand avide : il vend les principes, achète le sang et transforme la politique en un marché d’esclavage moderne.
Le bourreau de Gaza et l’allié des sionistes
À Gaza, Trump a soutenu sans limite la guerre d’extermination visant enfants, femmes et vieillards. Il s’est tu face aux massacres de l’occupation, pire encore, il les a encouragés. Le sang des innocents a coulé au vu et au su du monde entier sous un parrainage officiel américain. Ses mains sont souillées par le sang de milliers d’enfants, et son silence criminel constitue la preuve de sa complicité totale dans le génocide.
Trump n’a jamais été un défenseur de la paix ni un protecteur des droits humains ; il a été un complice du meurtre, légitimant l’occupation et lui offrant une couverture politique et militaire. Sous sa présidence, l’Amérique s’est transformée en marchand de mort planétaire, ne connaissant que le langage du feu et du fer.
Sa guerre contre l’Europe
Mais le danger de Trump ne s’est pas limité à la Palestine. Il a tourné ses flèches vers l’Europe elle-même, cherchant à démanteler l’Union européenne et à semer la division entre ses peuples et ses dirigeants, afin d’assurer l’hégémonie absolue de Washington sur la décision mondiale. Il a fait chanter ses alliés, les a menacés et leur a imposé des contrats d’armement et de pétrole, tout en semant le chaos économique et politique.
Trump ne croit ni aux alliances ni aux partenariats ; il dévore l’Europe comme il dévore les nations faibles du Moyen-Orient. Il crée les crises puis vend des « solutions » à prix exorbitant. Et malgré tout, il reste un serviteur obéissant du projet sioniste, protégeant Israël au détriment même du vieux continent.
Le président du sang et du chaos
Trump n’est pas un président d’État, mais un projet de guerre ambulant. Il n’a laissé aucune scène sans y mettre le feu : de Gaza au Liban, de l’Ukraine à la Russie, du cœur de l’Europe aux profondeurs du Moyen-Orient. Partout où il passe, il ne laisse derrière lui que ruine, sang et désordre.
Il n’est pas un dirigeant, mais un marchand d’armes, un marchand de mort, pillant les richesses des peuples et couvrant les crimes de l’occupation. Il se cache derrière les slogans de la démocratie, mais en réalité il a enterré la démocratie américaine elle-même, la transformant en outil au service des lobbys sionistes et de la mafia financière.
