Rédacteur en chef : Dr. Ezzat Elgammal écrit : « Netanyahu crimin de guerre : Israël au bord de l’effondrement et le sang de Gaza comme prix du pouvoir »

Netanyahu crimin de guerre : Israël au bord de l’effondrement et le sang de Gaza comme prix du pouvoir
Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu n’est pas un simple homme politique, mais le moteur de la plus grande crise au Moyen-Orient aujourd’hui. Tout le sang versé à Gaza, tous les otages détenus, et toute l’escalade militaire et politique sont directement liés à son désir d’échapper à la justice et à la prison en raison des affaires de corruption et de négligence qui le poursuivent.
Netanyahu a transformé la guerre en un outil pour préserver son pouvoir personnel et rester au sommet, même si cela coûtait des milliers de vies et enterré toute chance de paix. Ses actions montrent que ses décisions ne sont pas prises pour Israël ou son peuple, mais pour servir ses intérêts personnels, cacher ses affaires et retarder la punition qui l’attend.

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Gaza : le grand affrontement
En un seul jour, le Hamas a tué 1200 Israéliens et en a kidnappé 251, un chiffre équivalant à un quart des pertes israéliennes lors d’une guerre complète avec les Arabes en 1948, et à la moitié de celles tuées par l’Égypte et la Syrie lors de la glorieuse guerre d’Octobre 1973. Cette surprise monumentale reflète l’ampleur du chaos que connaît Israël aujourd’hui, et montre la fragilité des politiques israéliennes face à la résistance palestinienne à Gaza.
Israël fait face à un dilemme stratégique : le Hamas détient ses otages, et en théorie, Netanyahu aurait pu conclure un accord pour les libérer et déclarer un cessez-le-feu avec des garanties précises. Mais cette démarche lui aurait coûté la majorité à la Knesset et peut-être sa liberté personnelle, dans un contexte de corruption persistante.
Les objectifs de l’extrême droite israélienne
Pour l’extrême droite israélienne, deux objectifs stratégiques principaux existent :
Corriger l’erreur historique de Ben Gourion en 1948, qui avait arrêté la guerre prématurément, laissant environ 2 millions d’Arabes vivre en Israël comme citoyens, et 5,5 millions de Palestiniens en Cisjordanie et à Gaza. Selon eux, tous les Arabes auraient dû être déplacés de la « terre promise » au peuple élu.
Rectifier l’erreur du camp de la paix israélien qui prônait « la terre contre la paix ». Dans cette vision extrémiste : la sécurité contre la sécurité, la paix contre la paix, pas de concessions territoriales. Comme Netanyahu l’a déclaré dans une interview fuitée : « Les terres occupées par Israël ne seront jamais rendues ».
Aujourd’hui, certains juifs extrémistes considèrent que le meilleur moment pour réaliser le grand objectif d’Israël est maintenant : contrôler « la Terre d’Israël » du fleuve Euphrate en Irak au Nil en Égypte, basé sur des interprétations bibliques fausses. Cette vision est fortement soutenue par l’extrême droite chrétienne aux États-Unis, connue sous le nom de sionisme chrétien, qui considère que le retour des Juifs en Palestine et l’établissement de leur État sont une condition essentielle pour le retour du Christ. Le soutien financier, politique et militaire massif rend la relation entre Israël et les États-Unis organique, comme un seul corps, donnant à Israël une puissance énorme pour faire face à tout coalition arabe ou islamique.
L’extrémisme islamique et la résistance
L’extrémisme musulman, que ce soit au sein du Hamas ou de l’Iran, considère que le conflit avec Israël et les États-Unis est également religieux, visant à libérer entièrement les terres islamiques. La voie pour atteindre cet objectif est le djihad armé contre les forces du colonialisme et de l’impérialisme judéo-chrétien. Les chiites se considèrent comme défenseurs de l’Islam et de ses lieux saints, prêts à se sacrifier jusqu’au bout, comme l’a fait l’Imam Hussein à Kerbala, tandis que les sunnites voient la libération de la Palestine comme un devoir religieux et national.
Netanyahu crimin de guerre
Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu est un criminel de guerre incontestable, et toutes ses politiques agressives visent uniquement à préserver son trône personnel. Mais il ne réussira pas à long terme, car la fin d’Israël n’est pas loin, même avec les tentatives de normalisation imposées aux pays arabes pour stabiliser leurs régimes. L’injustice et la corruption ne peuvent durer indéfiniment, et la pression régionale et internationale démasquera ses complots tôt ou tard, tandis que la résistance continuera jusqu’à obtenir justice et fin de l’occupation.
La grève générale et l’inquiétude en Israël
Aujourd’hui, Israël connaît une grève générale sans précédent, où les citoyens rejettent la guerre continue et expriment leur profond mécontentement face aux politiques agressives de Netanyahu. Cette grève n’est pas un simple protestation, mais un cri d’alarme contre la descente vers le chaos, reflétant le rejet de l’usage de la guerre pour des objectifs personnels et partisans.
Le Christ et la justice divine
La question fondamentale demeure : qui sera le Christ à son retour ? Sera-t-il le soutien des tyrans et des oppresseurs, des meurtriers semant le chaos et la violence ? Ou sera-t-il le défenseur des pauvres, des opprimés et des faibles ? Le Christ véritable, comme tout croyant le connaît, défendra les démunis, chassera les injustes et établira le royaume de Dieu sur terre, et non pas qu’il aide les tyrans et les oppresseurs.

En fin de compte, tout ce qui se passe aujourd’hui à Gaza, tous les conflits régionaux et religieux, et toutes les menaces mondiales sont directement liés à un Premier ministre qui protège ses intérêts personnels avant toute considération de sécurité ou d’humanité. Netanyahu a transformé la politique en outil pour rester au pouvoir et la guerre en couverture pour cacher ses affaires de corruption, tandis que le peuple palestinien, israélien et la région entière paient le prix de ses ambitions égoïstes.
Le monde est au bord d’une guerre globale multilatérale, et les conflits religieux et politiques continueront tant que les objectifs personnels primeront sur la loi et l’éthique. Dans ce tableau dramatique, la vérité est claire : le pouvoir absolu sans conscience devient une catastrophe humaine, et seuls les opprimés paient le prix fort.
Les peuples arabes et la révolution contre la trahison
La réalité choquante est que les peuples arabes sont aujourd’hui tous en révolte, furieux face à l’injustice, à l’occupation et aux dirigeants qui ont vendu la terre et l’honneur pour rester au pouvoir. Si les traîtres n’avaient pas protégé les intérêts d’Israël et étouffé la volonté de leurs peuples, Israël n’aurait pas pu poursuivre son occupation et étendre son contrôle.
Cette révolution populaire reflète la volonté des peuples de lutter contre l’injustice, la corruption et la trahison, et constitue l’étincelle réelle qui peut changer les équilibres de pouvoir dans la région. L’histoire se souviendra que la vérité ne meurt jamais, et que les peuples libres ne resteront jamais silencieux face à l’injustice, peu importe la durée ou la complexité des complots.