السلطة الرابعة

Rédacteur en chef, Dr. Ezzat Elgammal, écrit :Trump et les marchands de mort : une main dans le sang de Gaza, l’autre qui étrangle l’EuropeL’Empire mensonger… Comment l’Amérique est devenue complice du génocide

Trump… le président malade qui conduit l’Amérique vers l’abîme
Il n’est plus un secret que l’ancien président américain, Donald Trump, représente un cas aberrant dans l’histoire politique des États-Unis. L’homme souffre d’un trouble de la personnalité narcissique, hanté par la paranoïa (Paranoia), et possède des comportements proches de ce que les psychologues nomment des « traits de personnalité antisociale » (Antisocial Personality Traits). C’est une personnalité impulsive, qui ne respecte ni les règles générales ni les valeurs morales, et qui se complaît dans la manipulation des faits, comme si le mensonge faisait partie intégrante de son être.
Narcissisme maladif et délire de grandeur
Trump se croit omniscient, persuadé de tout savoir et de tout comprendre, et s’imagine comme le « sauveur suprême » de l’Amérique. Ce narcissisme maladif le pousse à se présenter en victime permanente de complots, tandis qu’il attaque ses opposants avec des accusations toutes faites, convaincu que chacun cherche à le renverser.
La mentalité du marchand avide
Trump ne pense pas comme un homme d’État, mais comme un commerçant opportuniste qui abuse des peuples et des nations faibles. Il exerce des pressions, pille et vole, tout en justifiant ses actes au nom de « l’intérêt national ». En réalité, il tourne le dos aux véritables intérêts de l’Amérique pour servir le projet sioniste. Son soutien inconditionnel aux crimes de Netanyahou en est la preuve éclatante.
Un impérialiste dangereux, à l’intérieur comme à l’extérieur
Le danger que représente Trump ne se limite pas à son appui aux dictateurs et aux despotes. Il a aussi contribué à détruire la démocratie américaine de l’intérieur. Sur le plan international, il s’est lancé dans des choix téméraires, heurtant l’Union européenne et créant des conflits avec le monde entier, de l’Ukraine à la Russie, sans vision claire. Même certains grands soutiens du sionisme, comme le milliardaire Haim Saban, ont exprimé leur inquiétude face à son comportement imprévisible.


Trump et sa complicité dans les crime
Trump n’est pas seulement un politicien : c’est un marchand d’armes, un marchand de mort, avide de profits mais incapable d’affronter la mort. Sous sa présidence, les crimes de guerre à Gaza ont été couverts par un soutien américain flagrant, tandis que le sang des enfants et des femmes coulait sous les yeux du monde entier. Ses mains sont souillées du sang de milliers d’innocents.

Trump… le président du sang et du génocide
Donald Trump n’est pas un simple président de passage dans l’histoire des États-Unis, mais la plus dangereuse incarnation de l’impérialisme américain dans sa forme la plus abjecte. Un homme malade, atteint de délire de grandeur et de narcissisme, qui dirige une nation entière avec la mentalité d’un marchand avide : il vend les principes, achète le sang et transforme la politique en un marché d’esclavage moderne.
Le bourreau de Gaza et l’allié des sionistes
À Gaza, Trump a soutenu sans limite la guerre d’extermination visant enfants, femmes et vieillards. Il s’est tu face aux massacres de l’occupation, pire encore, il les a encouragés. Le sang des innocents a coulé au vu et au su du monde entier sous un parrainage officiel américain. Ses mains sont souillées par le sang de milliers d’enfants, et son silence criminel constitue la preuve de sa complicité totale dans le génocide.


Trump n’a jamais été un défenseur de la paix ni un protecteur des droits humains ; il a été un complice du meurtre, légitimant l’occupation et lui offrant une couverture politique et militaire. Sous sa présidence, l’Amérique s’est transformée en marchand de mort planétaire, ne connaissant que le langage du feu et du fer.
Sa guerre contre l’Europe
Mais le danger de Trump ne s’est pas limité à la Palestine. Il a tourné ses flèches vers l’Europe elle-même, cherchant à démanteler l’Union européenne et à semer la division entre ses peuples et ses dirigeants, afin d’assurer l’hégémonie absolue de Washington sur la décision mondiale. Il a fait chanter ses alliés, les a menacés et leur a imposé des contrats d’armement et de pétrole, tout en semant le chaos économique et politique.
Trump ne croit ni aux alliances ni aux partenariats ; il dévore l’Europe comme il dévore les nations faibles du Moyen-Orient. Il crée les crises puis vend des « solutions » à prix exorbitant. Et malgré tout, il reste un serviteur obéissant du projet sioniste, protégeant Israël au détriment même du vieux continent.
Le président du sang et du chaos
Trump n’est pas un président d’État, mais un projet de guerre ambulant. Il n’a laissé aucune scène sans y mettre le feu : de Gaza au Liban, de l’Ukraine à la Russie, du cœur de l’Europe aux profondeurs du Moyen-Orient. Partout où il passe, il ne laisse derrière lui que ruine, sang et désordre.


Il n’est pas un dirigeant, mais un marchand d’armes, un marchand de mort, pillant les richesses des peuples et couvrant les crimes de l’occupation. Il se cache derrière les slogans de la démocratie, mais en réalité il a enterré la démocratie américaine elle-même, la transformant en outil au service des lobbys sionistes et de la mafia financière.

La guerre de la famine… le visage caché du génocide à Gaza
À Gaza, les corps ne meurent pas seulement sous les missiles, mais aussi par le pain interdit et l’eau proscrite. Les agences des Nations Unies ont confirmé que la famine est désormais une réalité dans l’enclave, et que des centaines de milliers de civils ont atteint la « phase 5 » de l’insécurité alimentaire : la mort lente. Ce n’est pas une situation naturelle ni une crise passagère, mais une politique de famine délibérée, qui assiège la bouchée de l’enfant, prive le malade de son médicament, cible les convois humanitaires et réduit les hôpitaux au silence sous les bombes.
Les chiffres sont accablants : des dizaines de milliers de morts, plus de deux millions de personnes plongées dans une urgence alimentaire étouffante. Le droit international est piétiné chaque jour, les Conventions de Genève sont violées au grand jour, tandis que le monde détourne le regard.
Celui qui coupe le pain à Gaza, qui interdit l’eau et le médicament, qui transforme les hôpitaux en ruines, ne mène pas seulement une guerre militaire, mais une guerre d’extermination à part entière. Un crime imprescriptible, qui ne s’effacera pas de la mémoire des peuples, et dont les auteurs n’échapperont ni à la justice des hommes, ni à celle du ciel.

La guerre de la famine… le visage caché du génocide à Gaza
À Gaza, les corps ne meurent pas seulement sous les missiles, mais aussi par le pain interdit et l’eau proscrite. Les agences des Nations Unies ont confirmé que la famine est désormais une réalité dans l’enclave, et que des centaines de milliers de civils ont atteint la « phase 5 » de l’insécurité alimentaire : la mort lente. Ce n’est pas une situation naturelle ni une crise passagère, mais une politique de famine délibérée, qui assiège la bouchée de l’enfant, prive le malade de son médicament, cible les convois humanitaires et réduit les hôpitaux au silence sous les bombes.
Les chiffres sont accablants : des dizaines de milliers de morts, plus de deux millions de personnes plongées dans une urgence alimentaire étouffante. Le droit international est piétiné chaque jour, les Conventions de Genève sont violées au grand jour, tandis que le monde détourne le regard.
Celui qui coupe le pain à Gaza, qui interdit l’eau et le médicament, qui transforme les hôpitaux en ruines, ne mène pas seulement une guerre militaire, mais une guerre d’extermination à part entière. Un crime imprescriptible, qui ne s’effacera pas de la mémoire des peuples, et dont les auteurs n’échapperont ni à la justice des hommes, ni à celle du ciel.

Trump, complice des massacres, sache que le sang de Gaza ne te pardonnera jamais, et que l’Europe n’oubliera pas tes tentatives de chantage et d’humiliation. Tu crois peut-être être l’invincible, mais tu n’es qu’une carte entre les mains du sionisme mondial, et ton destin sera celui de tous les tyrans : la poubelle de l’Histoire.
La justice divine ne sommeille pas, et tes crimes ne seront jamais prescrits. Ce qui s’est passé à Gaza ne s’effacera pas, et ce que tu as tenté d’imposer à l’Europe restera une marque d’infamie. L’ère de la tromperie est révolue, voici venu le temps des comptes.
Trump… président du sang et du génocide, ennemi des peuples, bourreau qui n’échappera pas à la malédiction de l’Histoire.

Trump, le sang de Gaza ne séchera jamais. Le crime de génocide ne mourra pas avec le temps. Tu crois peut-être être le plus fort, mais tu oublies que la véritable puissance n’est ni entre tes mains, ni entre celles d’Israël que tu protèges, mais entre celles de Dieu, le Juste, l’Invincible.
L’ère de la tromperie est révolue, et l’ère de la justice approche. Ton nom restera à jamais lié aux massacres, et ton crime à Gaza demeurera une tache indélébile sur le front de l’Amérique et d’Israël réunies.

De la narcissie et de la folie des grandeurs à la guerre de la famine et au démantèlement de l’Europe : le vrai visage de l’Amérique, tigre de papier de l’empire mensonge

L’Amérique… le tigre de papier
Les médias occidentaux n’ont cessé de présenter les États-Unis comme une superpuissance invincible, une armée que rien ne peut arrêter, et un État qui contrôle le destin des peuples et change les équilibres du monde d’une simple pression sur un bouton. Mais cette aura médiatique se dissipe rapidement dès que l’on découvre la réalité : l’Amérique n’est rien de plus qu’un tigre de papier. Car dès qu’elle affronte un adversaire doté de volonté et qui ne craint pas la mort, elle recule et se retire, couverte de blessures.
Du Vietnam à l’Afghanistan en passant par l’Irak, le scénario s’est répété : la défaite après l’hémorragie de sang et d’argent. Au Vietnam, des combattants pieds nus, armés d’armes rudimentaires, ont défait une armée colossale : plus de 85 000 soldats américains y ont trouvé la mort avant que Washington ne se retire, humiliée, en 1975. En Afghanistan, après vingt ans d’occupation, un coût dépassant 2 000 milliards de dollars et près de 2 500 soldats américains tués, les Talibans ont repris le pouvoir comme au premier jour. En Irak, plus de 40 000 soldats américains sont tombés, tandis que la facture de la guerre a dépassé 1 900 milliards de dollars, pour n’aboutir qu’à un pays livré au chaos, aux milices et à la ruine.
Et d’autres terrains n’ont pas été moins cruels : au Liban, en 1983, 241 marines américains ont péri dans une seule explosion, poussant Washington à se retirer piteusement. En Somalie, l’armée américaine n’a pas supporté la perte de 18 soldats lors de la bataille de Mogadiscio, se retirant précipitamment et laissant s’effondrer son projet. Aujourd’hui encore, malgré plus de 750 bases militaires disséminées dans le monde, l’Amérique est incapable de mener un affrontement direct. Elle se cache derrière les océans, lance ses missiles depuis les profondeurs marines, puis disparaît aussitôt. Oui, c’est une puissance militaire, mais sans endurance, sans souffle long, sans véritable volonté. Ainsi, la qualifier de « tigre de papier » n’est pas une simple métaphore, mais une vérité irréfutable.
À l’intérieur même des États-Unis, l’image de puissance se fissure davantage. Le président actuel, Donald Trump, considéré par beaucoup comme le président le plus dangereux et le plus faible de l’histoire américaine, fait face à un rejet massif à la fois sur le plan intérieur et international. Après seulement sept mois de son second mandat, les sondages ont révélé que 56 % des Américains rejetaient fermement sa gestion, tandis qu’il ne bénéficiait que d’un soutien limité de 40 %, et que 4 % restaient indécis. Plus révélateur encore : l’appui à Trump se concentre principalement parmi les plus de 65 ans, tandis que la majorité des jeunes le rejettent ; chez les 18-29 ans, son taux de soutien n’a pas dépassé 29 %.
La fracture est profonde : les démocrates le rejettent massivement, les républicains continuent de le soutenir, et 95 % des libéraux s’y opposent. Résultat : la cote de popularité du président n’excède pas 38 %. Ces chiffres révèlent le portrait d’une nation profondément divisée, dont le mythe de leadership mondial se désagrège de l’intérieur avant même de vaciller à l’extérieur.

Ainsi, la vérité devient claire : l’Amérique n’est pas « l’empire sur lequel le soleil ne se couche jamais », mais un État vacillant entre défaites militaires à l’extérieur et divisions politiques à l’intérieur. Elle peut posséder les armes, l’argent et les médias, mais elle manque de la volonté et de la détermination qui forgent la victoire. L’Amérique, malgré tous ses efforts pour paraître autrement, n’est rien de plus qu’un tigre de papier.

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