النسخة الورقية
أخر الأخبار

Le rédacteur en chef, Dr. Ezzat El-Gamal — expert en affaires stratégiques et relations internationales, écrit :

Al-Fasher au Soudan brûle… le génocide du siècle entre le silence complice, le commerce du sang et des questions sur des liens de financement via les Émirats

Ce qui se passe aujourd’hui au Soudan met la communauté internationale, arabe et islamique face à une responsabilité morale : devons-nous nous taire devant ce génocide ou exiger justice et reddition de comptes ?
La société arabe et internationale est appelée à adopter une position ferme et claire contre quiconque finance la machine de mort et profite des richesses du Soudan pour alimenter délibérément le conflit.

Mes frères et sœurs, assez de falsification et assez de silence. Cette colère est intenable, et notre colère contre ceux qui financent la machine de mort n’est pas moindre que notre douleur pour les victimes.
Ceux qui se prétendent dirigeants doivent choisir entre la justice et l’argent ; entre la dignité et les affaires. Al-Fasher ne sera pas oubliée, et quiconque entrave la justice devient complice du crime.

Ce qui se passe à Al-Fasher dépasse les mots : exécutions sommaires, brutalités méthodiques et tueries qui semblent être perpétrées avec une volonté de « revanche », dans une violence organisée où personne ne semble épargné. Ce ne sont plus de simples vidéos isolées — ce sont des preuves qui alimentent la crainte d’une intention méthodique d’exterminer des groupes civils.

« Mohamed bin Zayed : le visage du pouvoir qui commercialise le sang et couvre les pratiques des milices. »
« Les fils de Bin Zayed : un réseau d’intérêts qui finance la machine de guerre et vend l’avenir des Arabes. »

« Le démon des Arabes ? Celui qui promeut la normalisation et finance le chaos mérite seulement d’être tenu pour responsable. »

« Qui paie le prix ? Les peuples arabes — qui récolte les bénéfices ? Un système d’intérêts et de commerce des guerres. »
« Complicité politique et intérêts commerciaux qui fauchent des vies civiles — voilà le véritable bilan. »
« Celui qui finance les milices et les alimente financièrement ne peut prétendre à la neutralité ou à l’humanité. »
« Le sang d’Al-Fasher a des adresses — il faut suivre l’argent et les chaînes logistiques jusqu’à traduire les responsables en justice. »
« Quand l’argent s’allie au meurtre, l’État devient complice du crime, et la reddition de comptes est impérative. »
« La normalisation des crimes ne lave pas les mains — l’histoire jugera ceux qui ont approuvé et financé. »
« Celui qui vend sa patrie et les ressources de la région pour obtenir pouvoir et influence n’a pas sa place parmi les fils de la nation. »
« Leurs actes économiques et politiques ont laissé des traces sanglantes — il n’y a pas de neutralité face à la vérité. »
« Les Émirats, coffre d’intérêts utilitaires pour des projets qui démembrent des États — la vérité exige une enquête. »
« La critique n’est pas un ennemi ; c’est un devoir humain : celui qui finance la mort doit être démasqué devant l’opinion publique. »
« Les fonds de l’Orient se transforment en balles et en mercenaires — c’est une responsabilité. »

Mes frères et sœurs dans le monde arabe, islamique, africain et dans le monde entier : assez de falsification, assez de silence. Cette colère est intenable et notre colère aujourd’hui contre ceux qui financent la machine de mort n’est pas moindre que notre tristesse pour les victimes. Ceux qui se nomment dirigeants doivent choisir entre la justice et l’argent, entre la dignité et les affaires — et voici Mohamed bin Zayed, le visage du pouvoir qui vole le sang et couvre les pratiques des milices. Les fils de Bin Zayed forment un réseau d’intérêts qui finance la machine de guerre partout dans le monde arabe et vend l’avenir des Arabes. Bien sûr, Mohamed bin Zayed est le « démon des Arabes », l’accusé d’avoir perdu toute légitimité arabe et islamique en procédant aux plus grandes arrestations. Le peuple émirati libre qui promeut la normalisation et finance l’anarchie mérite d’être jugé. On voit des tueries commises contre son propre peuple jusqu’à ce que les Émirats se débarrassent de cette tache de honte. Égypte, Libye, Tunisie, Algérie, Soudan, Gaza, Yémen — tous ces pays n’ont pas été épargnés par son mal. Qui paie ? Les peuples arabes. Qui profite ? Le système des intérêts et du commerce des guerres, avec l’agenda israélien et la complicité politique arabe et internationale, et des intérêts commerciaux qui fauchent des vies civiles — voilà le vrai bilan. Celui qui finance et nourrit les milices par l’argent, comme au Soudan (et de même en Libye avec Haftar, et au Yémen), ne peut prétendre être neutre ou humain tant que cela ne nuit pas à ses intérêts. Le sang d’Al-Fasher a des adresses : il faut suivre l’argent et les chaînes d’approvisionnement jusqu’à ce que les responsables soient jugés. Quand l’argent et les agendas israéliens s’allient, comme le fait Mohamed bin Zayed dans le monde arabe, ils deviennent complices du crime et doivent être tenus responsables. La normalisation des crimes ne lave pas les mains ; il faut rendre des comptes de toute part, qu’il s’agisse d’Émiriens, d’Arabes ou d’Islamiques, partout dans le monde, envers cette famille corrompue qui gouverne les Émirats, que ce soit de l’intérieur ou de l’extérieur. L’histoire jugera ceux qui ont béni et financé. Celui qui vend sa patrie et les ressources de la région pour un pouvoir éphémère n’a pas de place parmi les enfants de la nation. Cette bande sionisée qui sert l’agenda d’Israël pour des gains financiers — évidemment leurs actes économiques et politiques ont laissé des traces sanglantes. Il n’y a pas de neutralité face à la vérité. Les Émirats en tant que coffre utilitaire pour des projets de démembrement des États — la vérité exige une enquête. La critique n’est pas un ennemi mais un devoir humain : celui qui finance la mort doit être démasqué devant l’opinion publique ; l’argent de l’Orient se transforme en balles et mercenaires — il faut donc éradiquer Mohamed bin Zayed, le démon des Arabes, le tueur sur la terre arabe sioniste qui exécute tous les plans d’Israël. Il est l’ennemi de la nation arabe et islamique ; il faut éliminer la lignée de Zayed du Golfe. Mon message à chaque être libre dans le monde arabe et islamique. Mon message aux 2 milliards de musulmans.

Ce qui se passe aujourd’hui à Al-Fasher dépasse les limites de la description : scènes d’exécutions sommaires, brutalités systématiques et tueries qui semblent être perpétrées par « vengeance » et avec une violence organisée telle que personne n’en réchappe. Ce ne sont plus des vidéos éparses ici et là — ce sont des preuves qui nourrissent la crainte d’une intention méthodique d’exterminer des groupes civils.

Exécutions de masse et milliers de déplacés

En l’espace de deux jours seulement, des activistes et des équipes médicales ont partagé des vidéos et des images montrant des exécutions sommaires massives de civils tentant de fuir la ville.
Des sources de la résistance et de mouvements d’alliances armées font état de chiffres s’approchant de milliers de victimes.
L’Organisation internationale pour les migrations a indiqué que plus de 26 000 personnes ont fui en l’espace de deux jours vers des zones relativement sûres, dans une vaste vague de déplacements qui s’ajoute aux millions de déplacés depuis le début de la guerre.

Avertissement onusien : indices d’exécutions à motivation tribale

Le bureau des droits de l’homme des Nations Unies a exprimé sa « vive préoccupation », signalant des rapports d’exécutions sommaires de civils tentant de fuir, avec des indices de motivations tribales, et la détention de milliers de personnes dans des conditions dangereuses.
La déclaration onusienne appelle à des enquêtes indépendantes et rapides, car ce qui se déroule relève de « violations graves » susceptibles de constituer des crimes internationaux.

Qui finance la machine à tuer ? Réseaux financiers et commerciaux

Des enquêtes journalistiques ont montré que des dirigeants liés aux Forces de soutien rapide ont créé des sociétés impliquées dans le commerce de métaux précieux, et que des filières de contrebande d’or transitent par des centres commerciaux aux Émirats, avant d’être réexportées sur les marchés internationaux.
Ces flux financiers ont contribué à l’achat d’armes et au recrutement de mercenaires, mettant les civils directement sous la menace de milices soutenues depuis l’extérieur.

Lien économique et politique : enquêtes internationales

Officiellement, Khartoum a accusé des parties régionales de soutenir des mercenaires et d’approvisionner des factions sur le terrain.
Des rapports diplomatiques et d’investigation ont confirmé que certaines relations économiques et commerciales via les Émirats ont permis de maintenir les lignes de financement et d’armement au profit des milices.

Les enquêtes internationales évoquent des flux d’or et des transactions commerciales suspectes, ce qui a suscité des interrogations d’organismes onusiens et occidentaux, et créé une crise éthique et politique autour du silence régional et international.

Exemples antérieurs : Yémen et Libye

Le schéma observé au Soudan rappelle des interventions antérieures au Yémen et en Libye, où les ingérences se sont transformées en terrain d’investissement et d’influence, souvent au détriment des civils et de la stabilité des États.

Accusations de mercenaires et d’armements

Ces derniers mois, les accusations se sont multipliées selon lesquelles des mercenaires auraient été recrutés moyennant paiement pour combattre aux côtés de factions sur le terrain au Soudan.
D’autres rapports ont lié du matériel militaire à des fabricants occidentaux ou à des réseaux logistiques internationaux, suggérant des interventions à plusieurs niveaux.

Que doivent faire les gouvernements arabes et internationaux ?

  • Ouvrir une enquête indépendante sous supervision onusienne, garantissant un accès sécurisé à Al-Fasher pour recueillir des preuves et protéger les témoins.
  • Imposer des restrictions financières et commerciales sur les réseaux de contrebande d’or et tracer les flux monétaires qui alimentent les milices.
  • Protéger les civils et livrer l’aide via des couloirs humanitaires sûrs.
  • Assurer des poursuites judiciaires et transmettre les preuves aux juridictions internationales lorsque les indices de crimes de guerre ou de crimes contre l’humanité sont réunis.

« Al-Fasher a révélé des réseaux d’intérêts qui nourrissent la machine de mort : des alliances financières et commerciales opérant depuis des années pour transformer les richesses du Soudan en carburant pour la guerre. La communauté internationale et la communauté arabe doivent agir maintenant : enquête indépendante, application de sanctions financières sur les réseaux de contrebande et du financement de la guerre, et ouverture des dossiers contre les responsables politiques soutenants. Nous n’acceptons pas que le sang des victimes soit payé par le silence et une diplomatie superficielle — la reddition de comptes et la justice sont un devoir impératif. »

Al-Fasher n’est pas un événement isolé, mais un test pour nos consciences et nos valeurs humaines.
Les victimes soudanaises n’ont pas besoin de slogans, mais d’actions concrètes : embargo financier, restrictions commerciales et enquêtes indépendantes.
Ce qui se passe aujourd’hui au Soudan met la communauté internationale, arabe et islamique face à une responsabilité morale : devons-nous nous taire devant le génocide ou exiger justice et reddition de comptes ?
La société arabe et internationale est appelée à adopter une position ferme et claire contre quiconque finance la machine de mort et profite des richesses du Soudan pour intensifier le conflit avec préméditation, et ce sans hésitation.

مقالات ذات صلة

اترك تعليقاً

لن يتم نشر عنوان بريدك الإلكتروني. الحقول الإلزامية مشار إليها بـ *

زر الذهاب إلى الأعلى