السلطة الرابعة

Rédacteur en chef Dr.Ezzat Elgammal écrit : D es rues du monde à Gaza : les peuples se mobilisent contre l’extermination

: Gaza… la première ligne de défense de la nation
Pendant plus de soixante-dix ans, Israël et ses alliés ont dépensé des centaines de milliards de dollars dans le but de briser la volonté des Palestiniens et de les transformer en un peuple soumis, acceptant la défaite et l’occupation. Mais le résultat a été contraire : chaque nouvelle génération palestinienne est plus déterminée et résolue à libérer toute la Palestine, du fleuve à la mer.
Échec militaire et du renseignement
Après près de deux ans de guerre inégale, les failles de l’institution israélienne se sont révélées :


Une incapacité militaire malgré la supériorité des armes
Un fiasco sans précédent du renseignement.
Une pénurie de soldats et une chute des moral.
Une division interne qui fracture la société israélienne.
De grands scandales de corruption qui paralysent la classe politique.
Israël a détruit Gaza pierre par pierre et vie par vie, mais a échoué à détruire la volonté de résistance ; au contraire, la flamme de la résistance s’est intensifiée. Pire encore, Israël a perdu le capital politique qu’il avait accumulé depuis un siècle dans le cadre du projet sionisto-américain, devenant aujourd’hui un État paria dirigé par un Premier ministre qualifié de « criminel de guerre ».
Le monde refuse le génocide


Les crimes de guerre et le génocide à Gaza ont déclenché une colère mondiale. Ce mouvement ne se limite plus à la rue : il atteint désormais le cœur des gouvernements occidentaux. Aux Pays-Bas, le ministre des Affaires étrangères, Casper Veldkamp, a présenté sa démission, déclarant qu’il ne pouvait plus continuer après le rejet de sa proposition de sanctions contre Israël et d’interdiction des importations des colonies. Huit autres ministres ont suivi, et le Parti du « Pacte social » s’est retiré de la coalition gouvernementale.
Il ne s’agit pas seulement d’un geste politique : c’est une reconnaissance publique que ce qui se passe à Gaza constitue un génocide et une guerre contre l’humanité. La famine imposée par l’occupant aux civils est devenue une honte qui ébranle des gouvernements entiers.
Gaza… le balance entre vérité et mensonge
Le plan de déportation que l’occupant cherche à appliquer depuis cinq ans n’est qu’une partie d’un projet plus vaste visant à éliminer la cause palestinienne après la normalisation arabe. Mais Israël n’a pas besoin des « Arabes officiels » : le commerce continue sans normalisation, et les accords d’Abraham n’ont rien apporté. Les régimes arabes, par leur silence et leur complicité, se transforment en simples secrétaires du projet sioniste.
Gaza, en revanche, est la Badr de notre temps ; c’est là que Dieu distingue les gens de vérité de ceux de mensonge. C’est le premier rempart pour défendre l’ensemble de la nation arabe. Quiconque pense qu’Israël ne combat que les Palestiniens se trompe : c’est un combat d’existence et non de frontières. Ce qu’ils attendent, c’est la chute du front palestinien pour pouvoir attaquer le reste des pays arabes, de l’Atlantique au Golfe.
Non à la normalisation… non à une paix illusoire
Les partisans de la normalisation vendent des illusions de « paix » tandis que le véritable projet est de bâtir un empire israélien sur les ruines des terres arabes. Il n’y a donc pas de place pour la neutralité :
Pas de normalisation.
Pas de paix factice.
Pas de tromperie.
Le combat est clair : Gaza résiste pour vaincre, et Gaza vainc pour que la nation demeure.
: Gaza saigne… et le monde regarde

À Gaza, on n’entend que les explosions et les cris des mères. Des enfants sont tués dans les bras de leurs mères, des femmes sont ensevelies sous les décombres, et un peuple est puni par la famine et le blocus. La scène ne laisse aucun doute : ce qui se passe n’est pas une guerre, mais un génocide complet et organisé.
Un crime qui ne nécessite pas d’explication
Toutes les lois internationales, des Conventions de Genève aux chartes des droits humains, affirment que la cible des civils constitue un crime de guerre. Pourtant, Gaza est quotidiennement bombardée, laissant ses habitants face à une mort rapide par les missiles ou une mort lente par la faim et la maladie. Les chiffres sont devenus de simples statistiques froides, mais derrière chaque chiffre se cache un enfant qui ne joue plus, une femme qui ne vit plus, une famille effacée des registres.
Silence arabe… et complicité occidentale
Le scandale ne réside pas seulement dans la cruauté de l’occupant, mais aussi dans le silence arabe complice, où les régimes sont devenus des spectateurs muets, parfois même des partenaires implicites par la fermeture des passages ou le passage de la normalisation. Quant à l’Occident, qui brandit les slogans de liberté et des droits de l’homme, il pratique une double moralité flagrante : il justifie l’agression, il justifie le meurtre, et n’agit que lorsque ses propres intérêts sont menacés.
Les peuples se mobilisent… les gouvernements trahissent
La paradoxale réalité est que dans les rues des capitales occidentales, les cris pour la liberté en faveur de la Palestine se font plus forts que dans certaines capitales arabes. Des millions de jeunes, d’étudiants et de syndicats en Europe et en Amérique manifestent contre le génocide, tandis que leurs gouvernements continuent de soutenir l’occupation avec des armes et de l’argent. Les gouvernements arabes, quant à eux, restent enfermés dans leurs calculs étroits, pendant que le sang palestinien coule.
Gaza, symbole de dignité


Le génocide à Gaza n’est pas seulement une affaire « palestinienne » c’est une question humanitaire et morale qui révèle l’hypocrisie du monde moderne. Gaza est aujourd’hui le symbole de la dignité et un véritable test pour la conscience humaine. Quiconque reste silencieux face au meurtre des enfants et à la famine imposée aux femmes perd le droit de parler de justice et de liberté.
Il faut agir
La blessure de Gaza est devenue insupportable. Il ne suffit plus de publier de simples condamnations : il faut agir concrètement :
Juger les dirigeants de l’occupation comme criminels de guerre.
Imposer des sanctions internationales pour arrêter la machine à tuer.
Ouvrir d’urgence des couloirs humanitaires pour acheminer nourriture et médicaments.
Boycotter politiquement et économiquement tous ceux qui soutiennent le génocide.
La Palestine n’est plus seulement une question de frontières ; c’est une question d’existence. Gaza, avec tout son sang et ses blessures, rappelle au monde que la liberté ne se donne pas : elle se conquiert.
: Gaza… et le cri des peuples face au génocide

Aujourd’hui, Gaza n’est pas seulement une ville assiégée ; c’est le symbole d’une humanité massacrée sous les yeux du monde. Bombardements continus, des milliers d’enfants et de femmes ensevelis sous les décombres, et une famine imposée volontairement comme arme de guerre. C’est un génocide du XXIᵉ siècle, visible et audible par tous.
Le sang des enfants réveille la conscience mondiale
Dans chaque foyer de Gaza se cache une tragédie : un enfant a perdu sa famille, une mère cherche du pain et n’en trouve pas, des malades meurent faute de médicaments. L’occupant ne s’est pas contenté de tuer par les missiles ; il a choisi l’arme de la famine pour détruire ce qui reste de vie. Mais le sang des innocents est devenu un cri qui secoue le monde.
Révoltes populaires contre le silence
De New York à Londres, de Paris à Berlin, de Cape Town à São Paulo, des millions de personnes descendent dans les rues, brandissant les drapeaux palestiniens. Des voix en colère s’élèvent contre le génocide, dénoncent les mensonges et exigent l’arrêt immédiat des massacres. C’est une révolution mondiale de conscience humaine, qui prouve que les peuples sont plus conscients et plus humains que leurs gouvernements.
Complicité des gouvernements et trahison des régimes
Alors que les peuples crient, les gouvernements occidentaux persistent à soutenir l’occupation par les armes et l’argent. Dans le monde arabe, le silence domine les canons, comme si le sang palestinien ne signifiait rien. Certaines régimes sont devenus complices du siège, se contentant de déclarations insignifiantes, tandis que Gaza brûle.
Gaza brise le mur de la peur

Paradoxalement, malgré sa puissance, l’occupant a perdu ce qu’il avait de plus précieux : son image dans le monde. L’« armée invincible » n’est plus qu’une machine à tuer des enfants. Israël n’est plus « l’oasis de la démocratie », mais un exemple de colonialisme et d’apartheid.
Pas de paix avec le génocide
Aujourd’hui, il est inacceptable de parler de « processus de paix ». Ce qui se passe à Gaza révèle toute la vérité : il n’y a pas de paix avec les meurtriers, ni de normalisation avec ceux qui commettent le génocide. Une action mondiale sérieuse est nécessaire : des procès internationaux, des sanctions sévères, et l’arrêt immédiat de tout approvisionnement en armes à l’occupant.
Gaza… notre boussole morale
Gaza n’est pas seulement la cause des Palestiniens. C’est notre boussole morale à tous : qui se tait aujourd’hui face au meurtre des enfants à Gaza, se taira demain devant d’autres crimes. Qui se soulève aujourd’hui pour la Palestine, prouve que l’humanité est encore vivante.

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